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Lotto 1066 - Auction n°8
1067
Second Empire / Napoléon III (1852-1870). Jeton du Conseil de surveillance des Usines centrales de la Guadeloupe ... Leggi tutto
- PCGS MS61 (42254632). Avec poinçon abeille. Très rare exemplaire de référence. De minimes marques de circulation. Superbe.
Base d'asta:
1.000,00 EUR
Offerte
Stato lotto:
Asta chiusa
Descrizione
Second Empire / Napoléon III (1852-1870). Jeton du Conseil de surveillance des Usines centrales de la Guadeloupe 1843-1853 (1860-1879), Paris.
PCGS MS61 (42254632). Av. USINES CENTRALES DE LA GUADELOUPE. Dans un paysage, une usine avec cheminée, signature J. ESPARON. Rv. CONSEIL DE SURVEILLANCE. Dans une couronne formée de deux branches : 1843 1853.
Lec.42 = cet ex. - Vente Page juin 1931, n° 131 ; Argent - 29,75 g - 38 mm - 12 h
Top Pop : c’est le seul exemplaire gradé ! De la collection Jean Lecompte. C’est l’exemplaire qui illustre l’ouvrage de Jean Lecompte, Monnaies et jetons des colonies françaises, éditions Gadoury, 2007.
PCGS MS61 (42254632). Av. USINES CENTRALES DE LA GUADELOUPE. Dans un paysage, une usine avec cheminée, signature J. ESPARON. Rv. CONSEIL DE SURVEILLANCE. Dans une couronne formée de deux branches : 1843 1853.
Lec.42 = cet ex. - Vente Page juin 1931, n° 131 ; Argent - 29,75 g - 38 mm - 12 h
Top Pop : c’est le seul exemplaire gradé ! De la collection Jean Lecompte. C’est l’exemplaire qui illustre l’ouvrage de Jean Lecompte, Monnaies et jetons des colonies françaises, éditions Gadoury, 2007.
Qualità: PCGS MS61 (42254632). Avec poinçon abeille. Très rare exemplaire de référence. De minimes marques de circulation. Superbe.
Note
Après l’abolition de l’esclavage, l’industrie sucrière antillaise fut modernisée par la création des usines centrales qui regroupaient une vingtaine d’entreprises familiales. Auparavant, la Guadeloupe ne possédait que des habitations-sucreries fonctionnant à l’aide de moulins à vent ou à eau, dont nombre furent détruits par le tremblement de terre de 1843. Il fut alors décidé de construire des moulins à vapeur ce qui provoqua une révolution dans la fabrication du sucre. L’initiative en revient à la Compagnie des Antilles, patronnée par le gouvernement, qui créa les premières usines centrales. En 1853, une nouvelle société est créée, la Société des usines centrales de la Guadeloupe, aidée par la Société du Crédit colonial
Après l’abolition de l’esclavage, l’industrie sucrière antillaise fut modernisée par la création des usines centrales qui regroupaient une vingtaine d’entreprises familiales. Auparavant, la Guadeloupe ne possédait que des habitations-sucreries fonctionnant à l’aide de moulins à vent ou à eau, dont nombre furent détruits par le tremblement de terre de 1843. Il fut alors décidé de construire des moulins à vapeur ce qui provoqua une révolution dans la fabrication du sucre. L’initiative en revient à la Compagnie des Antilles, patronnée par le gouvernement, qui créa les premières usines centrales. En 1853, une nouvelle société est créée, la Société des usines centrales de la Guadeloupe, aidée par la Société du Crédit colonial
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